La société Goya Onda SA, qui devait construire et exploiter la vague de surf artificielle et l’hôtel-restaurant voisin, sur la presqu’île de Morlon, n’est plus, depuis mardi. Mais deux des quatre actionnaires, l’entrepreneur et restaurateur Flurin Mathieu et l’ingénieur civil Arnaud Dorthe, reprennent le projet et la marque Goya Onda à leur compte.

Pour eux, la raison d’être (l’ADN) de Goya Onda subsiste, même si le canton a retiré le projet de son plan directeur. Les deux hommes cherchent d’autres horizons pour réaliser leur rêve. La saison terminée, fin octobre, ils laisseront l’établissement des Laviaux – qui restera actif – à leurs deux anciens associés.

Quelle est cette raison d’être de Goya Onda?

Flurin Mathieu (FM): C’était de démontrer qu’il est possible de créer un autre accueil touristique basé sur les trois piliers de la durabilité. En cinq ans, nous avons réalisé notre Goya Onda «micro» aux Laviaux, avec notre bed and breakfast, une place de jeu, des ac