
Nyon: Rebecca Bowring met en image les violences domestiques
A Nyon, Rebecca Bowring évoque les violences domestiques dans une exposition photo.
A Nyon, Rebecca Bowring évoque les violences domestiques dans une exposition photo.
Le Conseil fédéral vole au secours des producteurs d’électricité menacés par la volatilité des prix
L’atelier-galerie J.-J. Hofstetter expose Jérôme Blanc, Marta Blanc et Thomas Grogg
La metteure en scène succédera à Geneviève Pasquier et Nicolas Rossier à la tête du Centre dramatique fribourgeois, à Givisiez, au début de la saison 2023-2024
Une trentaine de personnes ont pu danser des slows sur le clocher de Saint-Nicolas, samedi après-midi, à l'occasion de la Fête de la danse qui s'achève ce dimanche. 3300 personnes ont assisté aux spectacles.
Ecole » Une classe de Bercher gagne le concours des langues anciennes.
Une classe de Bercher...
L’espace situé sur le site de Bluefactory a été rénové. Des portes ouvertes sont organisées samedi soir
Le Pavillon Le Corbusier accueille une belle exposition photographique
Le soleil revient, on sort les chaises de jardin. Objet fétiche de nos détentes sur pelouse ou balcon, le siège estival raconte ses histoires
La collection de l’institution sera intégrée dans un important projet muséal en Suisse alémanique
Le collectif LA (HORDE) présente Room With a View en exclusivité suisse, dans le cadre du festival Steps
L’industrie graphique fribourgeoise continue sa transformation, avec le rachat de MTL par Polygravia
Larissa Wagenhals et Adrien Borruat forment le duo Mario & Mela, qui présente son premier spectacle
Pendant une semaine, la philosophie descend de ses chaires pour penser en société… et en musique
Regroupant trois polices, le centre de compétence sécuritaire de la gare est sous le feu des critiques
Roman » A sa chérie, la philosophe Sophie Toumarkine, l’architecte Pierre Laffitte a choisi d’offrir une ville nouvelle, patrie des sciences et des arts à la campagne. Ce sera Sophia-Antipolis, érigé sur le plateau de Valbonne, vers Nice, où il n’y a rien. Ou presque. C’est ce «presque» qu’éclaire Nina Leger dans son «roman topographique» Antipolis.
Ça débute dans le bouillonnement des sentiments qui unissent Sophie Toumarkine et Pierre Laffitte. Ils résonnent avec les flots d’idées de l’architecte, nourris des envies de sa femme qui rêve d’un théâtre en plein air. Il en résulte une écriture en cascades, déversant l’esprit de nouveauté à pleins torrents. Mais le site retenu, officiellement vierge, a déjà des occupants. Ce sont des harkis, affectés à d’humbles tâches forestières dans une France qui a consenti à les accueillir à la fin de la guerre d’Algérie. Avec eux, l’auteure dit que le territoire est un palimpseste. Rappelant des curiosités telles que cette mairie-église surnommée «la lessiveuse», surprenante et malcommode, elle indique qu’Antipolis, qui efface ses harkis, est appelée à s’effacer elle aussi, comme ces aïeux dont on retrouve les ossements au gré des chantiers. DANIEL FATTORE
Nina Leger, Antipolis, Ed. Gallimard, 179 pp.
Le théâtre itinérant ouvre ses portes ce week-end au parc de la Poya, à Fribourg. Son implantation sur la place avait soulevé des oppositions. L’Association du quartier Palatinat-Grandfey s’inquiétait par ailleurs d’éventuelles nuisances.
La LNM propose pour son jubilé un spectacle son et lumière qui sera présenté à Estavayer et à Morat
Comment cultiver notre résilience face aux crises? Conseils d’une autrice franco-japonaise