Propagande post-mortem
La doctorante Céline Graillat-Mansuy fait parler les fantômes de son corpus de textes du XVIIe siècle.

Camille Besse
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Trois minutes pour présenter à un auditoire profane le sujet de ses recherches. C’est le défi que pose aux doctorants le concours de vulgarisation scientifique Ma thèse en 180 secondes, qui aura lieu le 31 mars prochain. A cette occasion, les candidats fribourgeois nous dévoilent les coulisses de leur travail. Plongée au cœur des laboratoires universitaires.
Des lunettes cerclées de rose, un sourire lumineux et un quotidien bien rempli. La doctorante Céline Graillat-Mansuy n’a pas hésité à faire le trajet depuis Annecy, où elle réside et enseigne la littérature française et le latin à des classes du secondaire, pour assister à un atelier de préparation au concours qui se tiendra le 31 mars prochain, sur la scène du Nouveau Monde.
L’occasion de nous parler de ses recherches, autour d’un grand café, &agra