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«Un saut réussi, c’est incroyable!»

Ayant commencé le patinage un peu par hasard, Vanessa songe désormais à la compétition. Emile Donzel
Ayant commencé le patinage un peu par hasard, Vanessa songe désormais à la compétition. Emile Donzel
Publié le 28.07.2020

Temps de lecture estimé : 2 minutes

Parle-moi de ton sport !

Vanessa Ballaman, 20 ans, fait du patinage depuis 2012. Elle nous parle de sa passion.

«J’ai commencé le patinage artistique un peu par hasard. A l’origine je faisais de la gym aux agrès mais le club où je pratiquais a fermé. Il m’a donc fallu chercher une nouvelle activité et j’ai trouvé mon bonheur dans le patinage. Il faut dire que c’est une discipline que j’ai toujours beaucoup aimé regarder, donc je me suis dit: «Autant commencer!» C’est un sport qui demande une certaine polyvalence. Il faut être à la fois capable de grâce et de prestance tout en ayant beaucoup de force et d’équilibre. Je m’exerce en temps normal au rythme d’un entraînement d’une heure par semaine. Quand j’en ai le temps, je peux aller m’exercer sans entraîneur à la patinoire à d’autres occasions. Ce sont des sessions pendant lesquelles j’exerce des aspects particuliers de la discipline, comme le cardio ou l’agilité.

Au niveau du corps, je vais surtout travailler la souplesse et la musculature afin d’être plus performante sur la glace. Au niveau de l’alimentation, j’essaie de manger équilibré, bien sûr, mais je n’irai pas aussi loin que ceux qui font de la compétition. Je ne me prive de rien! Dans le domaine du patinage artistique, il faut quand même avoir de la détermination à revendre: le nombre de fois où on se casse la figure sur la glace est quand même assez vertigineux et il faut être prêt à ne pas baisser les bras. Je me suis blessée plusieurs fois! Mais lorsqu’on réussit un saut, le résultat est vraiment incroyable et on se dit que ça valait le coup. Même si je n’ai pas encore d’expérience dans la compétition, j’avoue que j’ai toujours eu envie d’en faire. Il faut dire que ça peut coûter extrêmement cher, notamment à cause des cours privés qu’il faut prendre avec les entraîneurs. Cela dit, je compte me lancer l’année prochaine et je dois avouer que j’ai assez hâte!» Yvan Pierri

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