Sept disques pour raconter comment Bowie sauva Iggy Pop
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Musique » Un plaisant coffret revient sur la générosité dont fit preuve le dandy anglais envers le rocker américain.
S’il devait évoquer cette histoire, le journaliste Robert Greenfield (STP: A travers l’Amérique avec les Rolling Stones) parlerait d’un conte du paradis rock’n’rollien. Fermons les yeux, montons le son et filons en 1976. David Bowie, qui vient de se réinventer outre-Atlantique en prince translucide de la soul blanche (Young Americans) et du funk robotique (Station To Station) est de retour en Europe. Dans ses valises, une montagne de cocaïne et un prince déchu du nom d’Iggy Pop. Oui, le leader des Stooges, mis à mal par l’échec commercial de son groupe, n’est plus qu’une épave en attente du prochain shoot.
Une déchéance qui bouleverse Bowie, lequel, rappelons-nous, avait produit Raw Power, l&rs